Le Domaine de Mirail se situe au cœur de la Lomagne, près de Lectoure (32). Exploité par Charles-Antoine Hochman depuis 1998, il s’est spécialisé depuis quelques années dans la production de vins bio, encore rares parmi les Côtes de Gascogne. Entre les salariés permanents de la société, les VRP et les occasionnels que nécessite la saisonnalité de ce monde agricole, la gestion du social peut demander du temps et une expertise dont le chef d’entreprise ne dispose pas forcément.

Outre une collaboratrice chargée de tout le travail préparatoire sur les volets « comptabilité » et « social » du Domaine de Mirail, Charles-Antoine Hochman a choisi de solliciter A.G.E. – Accompagnement en Gestion d’Entreprise dès la création du cabinet.

« Voilà déjà plusieurs années que mon entreprise se fait accompagner par Clément Joly, dont j’apprécie la réactivité », explique-t-il. « Dans l’univers du vin, nous n’avons pas besoin d’une grande expertise en matière de fiscalité, contrairement à d’autres clients d’A.G.E. certainement, mais le suivi d’un point de vue social s’est rapidement imposé comme un élément central de notre contrat de gestion comptable avec le cabinet. »

Le Domaine de Mirail fait en effet intervenir des salariés permanents et des occasionnels sous contrats TESA (Titre Emploi Simplifié Agricole), mais aussi des VRP, des agents commerciaux, etc. Au total, sur l’année cela représente l’équivalent de neuf collaborateurs à temps plein. Tout un panel de profils qu’il faut suivre, accompagner, informer.

A.G.E. est donc un contact privilégié à deux niveaux : celui de l’information tout d’abord (le cabinet tient notamment son client informé de l’évolution de la législation) ; et enfin celui de l’opérationnel.

Dans ce cadre, l’accompagnement d’A.G.E. s’est traduit par la création d’un process d’entretiens professionnels au Domaine, et par une aide dans la recherche et la mise en place pratique de formations adaptées aux salariés en CDI.

« Précis dans les réponses qu’il nous apporte, le cabinet permet des échanges fluides et offre une oreille attentive à mes réflexions stratégiques sur l’évolution du Domaine », conclut Charles-Antoine Hochman. L’exploitation débute en effet un nouveau mode de culture – la biodynamie – encore plus exigent, mais qui permet à la vigne de gagner en autonomie par rapport à son environnement.

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