Dans le cadre de rachats d’entreprises et de restructurations, il arrive malheureusement que des salariés essuient les plâtres. Anciennement employé dans une société spécialisée dans la vente de produits du bâtiment, Jérôme Berto a fait naître un beau projet : celui de lancer sa propre activité à l’issue de sa rupture conventionnelle.
Il a rapidement été question de trouver la meilleure formule pour faire cohabiter les ambitions professionnelles et personnelles de notre client. Pro.tec 32 est ainsi née sous la forme d’une SAS, statut juridique qui, après étude du dossier, s’est avéré plus pertinent que celui de l’entreprise individuelle.
Pouvant prétendre à une indemnisation de la part de Pôle Emploi, une réflexion a eu lieu sur la forme que pouvait prendre cette aide. Les créateurs d’entreprise inscrits à Pôle emploi et indemnisables peuvent en effet choisir entre deux dispositifs : le maintien de leurs allocations ou le versement d’une aide financière à la création d’entreprise, à hauteur de 40% de leurs droits. En optant pour le capital, Jérôme Berto s’est constitué une trésorerie afin de lancer correctement son activité et se rémunérer ensuite.
« Voilà plusieurs années que je pensais à créer ma boîte », explique-t-il. « Je connais le Gers et la Haute-Garonne, j’y ai un solide réseau d’entreprises et d’artisans, réseau qui m’a suivi dans cette entreprise. Mon activité de vente de vêtements de travail pour les professionnels, de visserie et de quincaillerie a donc rapidement décollé. »
« S’agissant de ma comptabilité, j’ai connu le cabinet A.G.E. – Accompagnement en Gestion d’Entreprise et aussitôt adhéré à leur état d’esprit : une équipe sympathique et dynamique. La proximité, c’est important. Surtout lorsqu’on attend de son expert-comptable les meilleurs conseils pour optimiser une création d’entreprise. J’ai aussi aimé l’idée de faire confiance à un jeune cabinet d’expertise comptable gersois, basé à Gimont. S’agissant des chiffres, des déclarations de TVA, etc., j’ai vraiment d’autres chats à fouetter : je laisse donc cela à ceux qui savent ! »