
Les récentes annonces du gouvernement vont dans le bon sens : celui d’une reprise pour de plus en plus d’entreprises. C’est de bon augure pour l’économie du pays, notamment à l’approche de la saison estivale. Nous avons voulu revenir sur cet épisode qui a bouleversé de nombreuses structures, que nous avons accompagnées à travers les procédures et aides proposées par l’Etat.
C’est le cas de la Villa Cahuzac à Gimont (32). Accompagné par A.G.E. – Accompagnement en Gestion d’Entreprise, cet hôtel-restaurant gersois a su tirer le meilleur des mesures proposées aux professionnels de ce secteur, notamment la poursuite du dispositif de chômage partiel jusqu’à la fin de l’année. Le gérant Pierre Dubarry revient sur cet épisode exceptionnel dont chacun doit tirer les enseignements.

« S’agissant de comptabilité d’entreprise, j’aime parler de business global, de problématiques et de stratégies, et pas uniquement de chiffres dans un bilan. Avec A.G.E., que ce soit avant ou pendant la crise sanitaire, j’ai trouvé un suivi qui me permet de mieux anticiper les choses et de continuer à développer mon activité. J’apprécie vraiment l’objectivité, le réseau, les connaissances de notre comptable, ainsi que son adaptabilité à notre filière. J’aime qu’on me parle régulièrement de coefficients qui mettent en perspective mes achats ou ma masse salariale par rapport à mon chiffre d’affaires !
Face à la crise, A.G.E. a su informer parfaitement sur les différentes mesures. Je considère que l’Etat a accordé un grand soutien aux entreprises de l’hôtellerie-restauration : leur dispositif d’activité partielle me permet de mettre en harmonie la masse salariale de mon entreprise et le chiffre d’affaires réalisé. Je peux aujourd’hui me permettre de faire venir mes salariés en fonction des besoins de l’établissement, et ces derniers restent couverts, avec un salaire qui continue de leur être versé. Cela, associé au Prêt Garanti par l’Etat qui m’a été accordé, devrait me permettre d’effacer les deux mois d’inactivité totale. A.G.E. a travaillé main dans la main avec mon banquier pour évaluer le dossier de la Villa Cahuzac et estimer le montant à débloquer dans le cadre de ce PGE : 90 000 euros pour répondre à nos besoins.
La Covid-19 fait réfléchir, patrons comme salariés. Il faut savoir relativiser. Nous avons lancé une activité de vente de plats à emporter : pas de quoi compenser les pertes, mais cela a permis de faire revenir une partie de la clientèle avant le déconfinement… ainsi que des nouveaux, qui ont découvert avec plaisir la Villa et ce qui sort de ses cuisines. Après un bon bilan d’exploitation en mars dernier, nous avons bien l’intention de rebondir sur ces résultats positifs pour nous relever de la crise. Outre son expertise, c’est l’objectivité d’A.G.E. et le fait que l’on partage efficacement nos informations qui a scellé ma confiance en ce cabinet. Je sais que nous avons pris les bonnes décisions pour mon business. »
Disposant d’un lieu spacieux et aéré, la Villa Cahuzac a la possibilité de faire respecter les mesures de distanciation sociale sans réduire son nombre de couverts habituel. Les premiers jours de reprise laissent présager d’un bon regain d’activité. Accueillant régulièrement des événements familiaux ou des séminaires d’entreprise, ce site exceptionnel dispose aussi d’un hôtel pour héberger particuliers et professionnels en déplacement.
